Selon une petite analyse nuancée que j’ai par rapport à l’actualité du moment, je ne serai étonné qu’un nouveau terme arrive bientôt.
Le chômage concurrencé ; effectivement un principe de base d’économie nous enseigne que, depuis toujours, la concurrence « loyale » est la libre confrontation entre l’offre et la demande.
En d’autres termes et très en vogue aujourd’hui, une entreprise est obligée d’aligner ces prix (offre) par rapport aux prix des autres entreprises (confrontation) pour un produit cible bien déterminé.
Suite à cela, le client (demande) aura évidemment le libre choix de s’orienter vers telle ou telle entreprise.
Nous avons été « victimes » d’une libéralisation du marché de l’énergie en Belgique en 2007 qui nous a permis d’avoir le libre choix entre différents fournisseurs d’électricité et de gaz en position concurrentielle.
J’irai plus loin dans ce raisonnement et aimerai le disposer sur la situation actuelle des migrants du Moyen-Orient.
Nous avons tous appris que certains pays comme l’Allemagne, la France ou la Belgique (à moindre échelle) ont accepté d’accueillir des migrants sur leur territoire respectif. Il faut rajouter à cette liste encore d’autres pays mais je cible les pays qui m’intéressent.
Ces pays ont décidé de le faire en affirmant qu’une contrepartie économique sera sensible au fur et à mesure de l’intégration de cette nouvelle vague migratoire.
En effet, la population sans cesse vieillissante du vieux continent résultera sur un besoin immédiat d’actifs jeunes pour assurer les vieux jours de nos seniors sur du moyen à long terme.
L’arrivée des migrants est évidemment un élément positif dans ce dessein. Je pense, par ailleurs, qu’ils sont forts demandeurs de pouvoir travailler et gagner leur vie.
Pour en revenir au sujet de cet écrit, je voulais juste démontrer que ce renouveau dans la situation actuelle des « demandeurs d’emploi » va bousculer les us et coutumes de nos chômeurs invétérés.
Il est vrai qu’il faut arrêter de noyer le poisson et de toujours invoquer la situation désastreuse du taux de chômage qui a tendance quand même à s’améliorer au compte-gouttes.
Pour résumer, les chômeurs invétérés – je parle ici de chômeurs pour lesquels le travail n’a aucun intérêt et qui se complaisent à perdurer dans cette situation sans envie d’en sortir – devront désormais faire attention et de bouger leur derrière. Le migrant ambitieux car ayant déjà vécu dans une misère absolue, n’hésitera pas deux secondes à s’orienter vers un job et de décrocher un contrat pour subvenir aux besoins familiaux.
