Le 29 décembre 2012, ARI (Accounting Research Institute de l’université technologie de Mara en Malaisie) et ADEFI (association pour le développement de la finance islamique en Belgique) ont organisé un meeting dans le lobby d’un hôtel de Bruxelles.
Le but principal de ce meeting était de partager les points de vue et de signer un partenariat entre les deux associations.
D’un côté, il y a ADEFI (dont je suis membre) qui devient très opérationnel suite à l’émergence des pressions faites par les pays limitrophes qui ont déjà intégrés de près ou de loin la Finance Islamique dans leur finance conventionnelle.
En effet, Luxembourg, Grande-Bretagne et France ont déjà été acteurs dans ce domaine spécifique de la finance. Alors la question qui se pose est : Est-ce que la finance islamique est un système viable en parallèle de la finance conventionnelle ?
Pour répondre à cette question, je vais tenter de décrire les éléments importants de la finance islamique dans le cadre de futurs articles dans Yenivatan.
Par ailleurs, le but majeur de cet écrit est de mettre en valeur le partenariat entre ARI-ADEFI.
D’un autre côté, il y a ARI qui est une branche de l’Université de MARA en Malaisie, un acteur indétrônable de la Finance Islamique dans le monde.
Par ailleurs, la Malaisie a initié les banques islamiques en 1982 et ce secteur n’a eu cesse de prendre de l’ampleur. Ainsi, ce pays se place en étant le hub de la finance islamique.
Dans les prochaines activités liées au partenariat, ADEFI-ARI devront partager les connaissances acquises pour comprendre les opérations et le calibrage de la finance islamique appliqué à des contrats signés en Belgique.
Les disciplines pour lesquelles le partenariat mettra l’accent sont :
1) Banque islamique en Belgique
2) Microfinance
3) Gouvernance
4) Takaful
Comme indiqué au-dessus, je reviendrai sur cet important dossier dans mes prochains articles.